Le livre s’étoffe. Le moral est bon.
Il reste beaucoup de travail, mais l’avancée est régulière.
Complétion : 27 %
Le livre s’étoffe. Le moral est bon.
Il reste beaucoup de travail, mais l’avancée est régulière.
Complétion : 27 %
Certains n’arrivent pas à travailler avec la distraction que leur apporte Internet.
En ce qui me concerne, je ne peux pas travailler sans ; extension de mon savoir.
Une page se tourne avec la fin d’un gros chapitre.
Une petite victoire s’ajoutant aux autres, permettant de tenir le cap, de ne pas se démotiver.
L’écriture est un plaisir, mais il se travaille.
Le livre prend du corps, s’augmente de mots.
18 000 mots revus et corrigés.
Quel auteur, quelle histoire, quel style a (certes le livre n’est pas terminé, mais c’est tout comme) le plus influencé mes écrits ?
Ajout d’une référence cachée, dans le texte réécrit aujourd’hui, à George Orwell.
Notre inconnu […] inquiet des temps qui changent ? Un peu d’air frais le divertirait.
Extrait du livre
À peine un quart d’heure, un long quart d’heure en pleine action, temps qu’il nous aura fallu pour trouver cette personne.
Phase ingrate de réécriture – pour les pourcentages – ajoutant des pages au livre.
Tout de même 2% d’avancement aujourd’hui.
Complétion : 13,5%
Il y a 8 ans – déjà et seulement – nous prenions la route vers l’inconnu. Nous laissions dernière nous la sécurité d’un travail, d’une maison, et d’une voiture. Tout le confort de la société moderne occidentale.
Le champagne n’est pas sorti, mais la nouvelle le mériterait – comme bien d’autres événements, alors mieux vaut nous abstenir sinon nous passerions notre temps à boire –.