« […] C’est que ce voyage n’est pas un déplacement de vacances, c’est un mode de vie ou, plutôt, un projet de vie qui s’échelonnera sur plusieurs années, le but ultime étant la Nouvelle-Zélande. Pour s’y rendre, on se déplacera en mode circulaire, n’hésitant pas à faire de nombreux détours. C’est un peu tout ça qu’on apprend à la lecture de ce témoignage. […] »

« […] Avec Des vies autour du monde, Sébastien Brégeon nous donne envie de voyager, de partir, de faire quelque chose d’autre de notre vie et, en cela, c’est sans réserve que j’en recommande la lecture. […] »

Lire la suite de la chronique sur le site de Daniel Ducharme

« […] La plume de Sébastien Brégeon est simple mais efficace. Elle est même plutôt jolie et loin d’être hésitante. Bref, l’immersion se fait sans souci. Et il arrive à nous distiller du suspense tout au long de ce premier volume même si on sait pertinemment où ils doivent se rendre, on se demande quand même en combien de temps ils vont arriver, combien de temps ils vont attendre pour embarquer, s’ils vont devoir faire une partie du trajet à pied ou s’ils vont se résigner à prendre le bus ou le train.

Je trouve ça tellement beau un tour du monde qui démarre de chez nous. La plupart du temps, ces tours commencent par un vol long courrier pour être directement parachuté dans l’inconnu. Je préfère cette transition en douceur comme ici. J’ai aussi beaucoup apprécié les crayonnés de l’auteur. Ah que j’aimerais pouvoir gribouiller de la sorte en voyage ! […] »

Lire la suite de la chronique sur le site de Iluze

Extrait de l’avis d’Elsa : « […] J’ai beaucoup aimé ce récit, et ai tout de suite trouvé ce jeune couple très sympathique, et attachant, tout comme les personnes qu’ils rencontrent à travers leurs trajets en auto-stop, ou via les réseaux d’hospitalité. Il faut être courageux pour tout abandonner et se lancer vers l’inconnu, et j’admire leur choix ! […] »

Extrait de l’avis de Laëti : « […] Leurs aventures se lisent très vite, j’ai été porté par la fluidité de l’écriture et la générosité qui se dégage de ce jeune couple tellement attachant, toujours avec le sourire et plein d’optimisme. […] »

Lire la suite de la chronique sur le site de Nuages de Mots

« […] C’est un livre étonnant car le thème n’a rien pour faire rêver la lectrice que je suis. Avide d’évasion, d’un exotisme que l’on croit toujours trouver ailleurs que chez soi, on ne prend finalement jamais le temps de réfléchir au déplacement lui-même, à ce qu’il signifie, à cet énorme bouleversement qui consiste à tout plaquer. Non pas pour aller élever des chèvres dans le Larzac, comme on l’entend souvent, mais pour aller ouvrir son esprit plus grand loin de chez soi.

Et pourtant, j’ai été littéralement captivée par ce livre du début à la fin. L’écriture est très belle, à la fois franche et soignée. On partage le quotidien de Sébastien et Claudia, leurs incertitudes… et je crois qu’on peut tous se reconnaître un peu en eux. S’imaginer au bord de ces routes, le sac à dos nous sciant les épaules, une certaine angoisse au creux du ventre à l’idée de partir pour un Ailleurs dont on ne sait rien… et en même temps, on ressent comme eux ce formidable élan de liberté qui consiste à ne jamais savoir où l’on sera le lendemain, à accueillir les rencontres que l’on fait en chemin. […] »

Lire la suite de la chronique sur le site de NoTuxedo

« Un livre lent, qui prend le temps de raconter ce qu’est un voyage. Car voyager, ce n’est pas seulement se déplacer mais se décentrer, entrer dans d’autres mondes que le sien, d’autres habitudes, d’autres climats et nourritures. S’il y a les fast travels pour touristes pressés de « faire » un lieu pour en parler, il y a aussi les slow travels pour voyageurs qui veulent s’interroger sur eux-mêmes et sur les autres. Le récit de Sébastien Brégeon est de ceux-là, un slow book « prenant le temps de caresser les émotions, les doutes, les interrogations ». […] »

Lire la suite de la chronique sur le site de Argoul

Un livre de voyage unique dans son style, avec des petites notes de Sylvain Tesson et Nicolas Bouvier.
La préface annonce la couleur, avec la notion de slow book, le voyage est lent mais riche d’enseignements.
On découvre deux personnages atypiques qui ont tout lâché, boulot et maison, pour partir faire un tour du monde.
On rêverait de faire pareil, même si à la lecture des péripéties du premier jour, j’étais contente d’être confortablement assise dans mon canapé.Ce livre permet de prendre une leçon gratuite sur les techniques de stop avec les réflexions de l’auteur qui nous permettent de comprendre ses choix.
J’ai adoré l’alternance dans l’histoire entre les moments où l’on en apprend sur le passé des 2 aventuriers, de leurs réflexions et leurs doutes dans l’action et la découverte des gens de tous les jours que l’on découvre avec eux lors de leurs rencontres.
Ce livre donne foi dans l’humanité, lorsque l’on voit la gentillesse des gens qui ouvrent leurs portes de voitures ou de maisons.

Après cette lecture, je ne regarderai plus les sandwichs d’autoroute de la même façon.
La description des paninis italiens m’a mis l’eau à la bouche.

Je regrette de devoir attendre la suite 😉 le livre se lit vite.

Une aventure pas si ordinaire qui ne fait que commencer.
J’attends avec impatience la suite et espère en apprendre davantage sur les deux voyageurs.

Pour résumer, un très bon livre, qui change des histoires racontées trop vite. Et pour ne rien gâcher, bien écrit.
Je ne conseille pas ce livre aux gens qui aiment survoler les pays, on est ici à l’opposé.

Ayant suivi l’épopée en live en son temps j’avais hâte de retrouver ces 2 jeunes gens atypiques qui ont ce petit quelque chose d’attachant, de sympathique, de différent. Le blog du voyage ne laissait apparaître que l’extérieur du voyage, ce que tout un chacun peut voir mais il manquait l’intérieur, l’intendance, les doutes, les rires, les pleurs, le quotidien fait de haut et de bas.

Je n’imaginais pas à la lecture de ce livre que je n’aurai qu’une hâte, le terminer d’une traite. Je me suis surpris à être stressé lors de cette traversée d’Auxerre, à souffrir avec eux, j’ai vu de mes yeux ces chamois à quelques centimètres d’eux comme si j’y étais, j’ai retrouvé leur leitmotiv, la découverte des gens, j’ai retrouvé leurs combats, le bio, le respect du monde animal, de la nature et je me suis surpris à me dire « déjà terminé?, J’en veux encore.

J’aime le concept du slow book, qui rejoint forcément leur combat contre le fast food.

J’aime aussi la deuxième partie du livre, que se passait-il dans le monde pendant cette période, si proche de nous et pourtant si différente, les explications sur certains passages du livres, je suis plus instruit depuis que je connais le zeugma par exemple.